Potentiel de marijuana excite les scientifiques dans le traitement de la SLA, la maladie de Parkinson.

05-12-2008

Des scientifiques sont en train d’étudier un nouvel antidépresseur et un antalgique qui fonctionne comme le cannabis (marijuana), sans les effets secondaires illégaux.

Il y a une dizaine d’années, quand Daniele Piomelli est venu aux conférences scientifiques, il était souvent le seul scientifique qui étudie les cannabinoides, la classe de chimiques qui donnent aux utilisateurs de marijuana un haut. Son travail a souvent fait apparaitre des grimasses et des plaisanteries, mais pas plus.

A la conférence annuelle du Society for Neuroscience récemment, des scientifiques ici ont délivré presque 200 de dossiers sur ce sujet.

Pourquoi l’attention ? Beaucoup de scientifiques croient que des médicaments comme le cannabis, puissent être capable à traiter une variation large de maladies, plus loin que la nausée et le doleur chronique, typiquement traité avec le cannabis médical. Les scientifiques ici présentent de preuve exaspérant que les médicaments cannabinoides puissent aider à traiter la sclérose latérale amyotrophique, aussi connu comme la SLA ou la maladie de Lou Gehrig, la maladie de Parkinson et l’obésité.

Des autres scientifiques étudient si les component puissent aider des victimes d’ictus et de la sclérose multiple.

Bien que les chimiques travaillent sur la même région du système nerveux, les nouveaux médicaments sont beaucoup plus raffinés et ciblés que le cannabis, avec peu de ses effets secondaires.

"Cannabinoides ont beaucoup de potentiel pharmaceutique,” a dit Piomelli, un neuroscientifique à l’Université de Californie à Irvine.

"Beaucoup de gens sont très excités"

Bien que le gouvernement fédérale oppose l’emploi de marijuana médicale, ça ne limite en générale pas la recherche cannabinoide, beaucoup de ce qui ne concerne pas la plante même. Des scientifiques qui utilisent Marinol, un médicament comme la marijuana légal, mais étroitement régulé, ont besoin de permission du gouvernement.

Parce que le système cannabinoide n’était pas découvert jusqu’aux tard 1980s, des décennies avant la sérotonine, dopamine et d’autres neurotransmetteurs, les scientifiques savent encore relativement peu sur comment ça marche. Comme tous les réseaux neurotransmetteur, le système cannabinoide consiste d’une série de routes chimiques à travers le cerveau et le système nerveux.

Cannabis produit ses effets en activant cette route, primairement par les effets de tetrahydrocannabinol, ou THC, l’ingrédient principal du médicament.

Dans la décennie passé, les scientifiques ont suivi ces testes abondants pour déterminer son vrai intention.

"Ils ne sont pas la pour devenir stoned. Alors, il doit y avoir des raisons internes,” a dit Andrea Giuffrida, un neuroscientifique à l’University of Texas Health Sciences Center à San Antonio.

Les scientifiques ont appris que les cannabinoides endogènes, des chimiques du cerveau internes qui activent le système, jouent un rôle dans la protection du tissu, l’immunité et l’inflammation, parmi des autres fonctions. Le système cannabinoide semble aussi s’efforcer une influence large, modulant la relâche de dopamine, sérotonine et d’autres neurotransmetteurs.

Giuffrida et des autres croient que les cannabinoides puissant traiter des maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson et la SLA.

A la conférence, Giuffrida a annoncé qu’un médicament cannabinoide, empêche les effets comme le Parkinson dans des souris.

La maladie, qui touché plus d’un million d’Américains, détruit les neurones dans une partie principale du cerveau, causant le patient de perdre contrôle de ses mouvements.

Giuffrida, avec ses collègues David Price et James Roberts, a injecté des souris avec un chimique qui s’appelle MPTP, qui mimique le dommage de Parkinson.

Quand quelques des animaux ont subséquemment reçu un médicament qui bloque les récepteurs cannabinoide, leurs cellules nerveuses ont souffert assez moins de dommage que les cellules des autres souris.

Ceci était la première démonstration qu’un médicament cannabinoide peut avoir cet effet. Bien qu’il n’est pas sur que le component anti-cannabinoide marche, Giuffrida suspecte que ça protégé les neurones en réduisant l’inflammation, un component principale dans Parkinson.

Cannabinoides puissent aussi retarder la SLA, qui détruit les neurones qui contrôlent les muscles jusqu’à ce que les patient deviennent paralyses, inapte à respirer soi-même.

Neuroscientifique Mary Abood, est devenu intéressé pour la première fois dans des cannabinoides après avoir entendu sur comment des patients SLA recevaient quelque soulagement en fumant du cannabis. Alors elle a commencé des expériences animales au California Pacific Medical Center à San Francisco.

Dans son étude, des souris avec un variant de la SLA, ont été donné une combinaison de THC et cannabidiol, un autre component qu’on trouve dans le cannabis.

Les deux substances sont des agonistes cannabinoides, des chimiques qui activent le système cannabinoide. Abood avait mesuré le cours de la maladie en testent combien de temps les souris puissent se stationner sur une tige qui tourne lentement.

Le traitement a retardé la progression de la maladie avec plus 7 jours et a étendu la survie avec 6 jours.

Dans des termes humains, ceci vaut environ 3 ans. C’est une amélioration signifiante en comparaison avec le seul médicament SLA qui existe, riluzole, qui étend la vie avec deux mois.

"J’était très excité quand j’ai reçu mes résultats initiaux,” a dit Abood.

Aussi à la conférence, des scientifiques à l’Institute de Neurologie à Londres, ont annoncés des résultats qui accompagnent ses résultats. Cannabinoides ont aussi aidé quelques patients SLA humains dans un petit teste, et Abood essaie de recevoir plus de financement pour un teste plus large.

Si les cannabinoides puissent protéger des neurones humaines de dommage, disent les scientifiques, ils puissent se confirmer utile contre des maladies neurologiques, y inclus des maladies mentales.

Les scientifiques regardent à si les cannabinoides puissent traiter la sclérose multiple, l’épilepsie, et la maladie de Huntington, bien que Giuffrida commence une étude de leurs effets sur la schizophrénie.

Des avocats du cannabis médicale ont longtemps discuté que le médicament puisse être utile pour le traitement de beaucoup de conditions, particulièrement le doleur chronique, la nausée et le glaucome (dans le dernier, le cannabis travaille en temporairement diminuant la pression autour de l’œil).

Bien qu’ils n’aient pas discuté ce point de vue, la plupart des scientifiques croient qu’il y a des façons mieux et plus précis pour stimuler le système cannabinoide.

Ils croient que le cannabis a beaucoup trop de négatives pour être un médicament vraiment effectif, avec des effets secondaires qui incluent des problèmes de mémoire, l’immunité diminuée, et possiblement l’addiction. (Quelques scientifiques discutent cette réclamation “accoutumant ”).

Cannabis a un autre inconvenient. D’un point de vue scientifique, a dit Guiffrida, c’est un “médicament très sale”. Il contient plus de 300 components, 60 d’entre eux affectent le système cannabinoide. Les scientifiques ne comprennent pas ce que la plupart de ces substances fait, ou comment ils coopèrent. Cette complexité le rend difficile pour les scientifiques pour positionner les effets de cannabis.

Un cannabinoide, Marinol, est disponible légalement. Le component, qui contient THC dans une forme de pilule, est en générale prescrit pour la nausée et pour la perte d’appétit parmi les patients SIDA. Mais Marinol a les mêmes effets psycho actives que le cannabis.

"Alors le clé", a dit Piomelli , "c’est d’obtenir les effets sans les effets secondaires. "

A ce point, Piomelli a développé un component qui s’appelle URB597, qui ne coule pas le corps avec des cannabinoides, comme Marinol et le cannabis font.

Au lieu de ça, il ralentit la rupture de cannabinoides dans le système. Il pense que le médicament puisse aider dans le traitement de douleur et même de dépression, sans rendre les patients stoned et oublieux. Lui et d’autres sont en train de le tester sur des animaux.

 

Traduire: Joke Mulleners

Source: ALS Independence

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