Nouvelle etude apporte une piece intriguante au puzzle SLA/ Mitochondrien

05-12-2008

Dans la SLA, les mitochondries valent la peine. Et bien que personne ne sache pourquoi, de la nouvelle recherche démontre comment des pannes qui semblent petites, puissent avoir des grandes conséquences dans leurs interactions normales avec le reste de la cellule.

"C’est bien le clé vers la compréhension du processus SLA?” demande le donataire de Packard, Giovanni Manfredi. “Nous ne le savons pas.” Mais vu l’importance des mitochondries – les organelles qui sont la source la plus importante d’énergie pour le corps – son recherche suit une route prometteur vers l’étude sur la maladie et vers la recherche d’objectifs pour sa thérapie.

Ceci allume aussi comment les mitochondries interagissent avec des autres systèmes de cellules – un donner-et-prendre complexe et peu étudié qui est concerné dans un nombre de maladies.

Un rapport sur le travail arrivera dans le “ Journal of Biological Chemistry” online de ce mois. Manfredi est un neuroscientifique au Weill Medical College du Cornell University.

Pendant des différentes années, Manfredi et des autres savent que les symptômes SLA commencent dans tous les deux des souris modèles que dans des gens au même moment que les mitochondries seront malformés et commencent à tomber en morceaux. Tous les deux les modèles animaux et les gens avec le type familial de la SLA qui se présente le plus, portent une forme mutée du gène SOD1 (super oxyde dismutase) qui cause la maladie.

Alors l’équipe de Manfredi a essayé de ramasser la connexion SOD1-malade mitochondries. Ca fait partie d’un grand effort par des scientifiques SLA pour regarder en générale comment la SOD1 puisse causer la maladie.

SOD1 normale, une molécule produite dans le cytoplasme de la cellule, est capable à échapper par tous les deux les membranes extérieurs et intérieurs qui caractérisent les mitochondries. Une fois à l’intérieur, elle fait un service utile, effacer les molécules chargées toxique ment – radicaux libres – qui se misent en place. Des autres protéines sont ‘importés’ aussi dans les mitochondries, entrant pour faire de différents tâches.

Pas chaque molécule puisse entrer, néanmoins – seulement ceux qui sont formées de telle façon qu’elles sont compatibles avec les systèmes mitochondriales, qui les absorbent comme autant de queue sur un pont du pêcheur.

Dans cette recherche récente, Manfredi a focalisé sur une protéine enzyme qui s’appelle KARS, une entrée normalement facile. Dans les mitochondries, KARS joue un rôle calme mais nécessaire dans la production de molécules spécifiques taillées sur mesure à leurs emploi.

Ce qui Manfredi a découvert c’était que la SOD1 mutante, mais pas de SOD1 sain (wild type) interagisse physiquement avec KARS, ce qui cause un changement structurelle anormale qui prévient ou dérompe KARS d’être importé dans les mitochondries. ‘Ceci se passe tous sur la surface mitochondriale, ‘ explique Manfredi. ‘KARS est en essence enlevé par la SOD1 mutante, résultant dans son mal pliage.’

Non seulement ceci prévient KARS de réaliser son rôle utile, mais aussi, spécule Manfredi, des touffes de KARS mal pliés et la SOD1 mutante pourrait assez coller la surface de mitochondries que des autres protéines nécessaires sont limité de leurs transport normale vers l’intérieur.

En plus, a dit Manfredi, KARS voilé est probable d’être reconnu comme ‘mauvais’ par la machinerie de ménage de la cellule, placent une souche sur ce système aussi. Et les neurones, dit-il, sont probable à être plus sensible à ces changements que des autres cellules. Dans les modèles souris, par exemple, les tissus non-systèmes nerveux semblent intacts.

"Alors nous voyons qu’un problème mitochondriale peut causer des difficultés en cours autre part dans la cellule, ‘ a dit Manfredi. ‘Notre travaille ajoute sur la suggestion qu’il y a un système d’import protéine dans les mitochondries dont la mal fonction ne pourrait pas être concernée dans des maladies comme la SLA*. L’idée est intriguant ."

* Des études autre part démontraient que des anormalités des d’autres protéines entrant-mitochondries similaires à KARS, est responsable pour la maladie neurodégénerative Charcot-Marie-Tooth, une maladie héréditaire qui affecte la sensation et le mouvement dans les membres inférieurs, au moins.

 

Traduire: Joke Mulleners

Source: ALS Independence

 

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