Cellules souches font de singer défauts génétiques dans des maladies incurables

13-11-2008

Des scientifiques ont récréé les gènes défauts qui causent des maladies comme Parkinson et la dystrophie musculaire dans des cellules vivantes. Des cellules ordinaires des patients étaient utilisées pour dupliquer les défauts génétiques. Ceci est une innovation importante pour les scientifiques.

"Des scientifiques ont longtemps voulu trouver une façon de déplacer la maladie d’un patient dans une tube de teste, pour développer des cellules qui puissent être cultivées dans les nombreux tissus relevant pour des maladies du sang, le cerveau et le cœur, par exemple,’ a dit le scientifique George Daley. (Dr. George Daley, du Children's Hospital Boston)

"Maintenant, nous avons juste une façon pour faire cela, pour dériver des cellules pluripotentes des patients avec la maladie, ce qui signifie que les cellules puissent créer aucun tissu et puissent grandir définitivement.

"Ceci nous mets dans la possibilité de modeler des milliers de conditions en utilisant des techniques de culture cellulaire classique. "

“Pluripotente” signifie cellules souches. Le problème pendant des années a été que ces maladies génétiques ont été testées dans des souris, et que quelques-uns des gènes ne se comportent simplement pas de la même façon dans des souris :

De telles cellules reproduisent des maladies humaines plus fidèlement que ceux pris des animaux comme la souris.

Bien que les différences génétiques entre les deux soient petites dans quelques maladies comme le syndrome de Down, le défaut génétique ne déclenche pas la même réaction dans des souris que dans des humains.

La création de cultures de cellules est très importante, aussi, parce que, comme le résumé par Daley dans Cell Magazine dit:

 

Culture tissue de souches de cellules immortelles de patients malades est une ressource inestimable pour la recherché médicale mais est largement limité aux lignes des cellules galle ou des dérivants transformés de tissues natives…..Tels cellules souches spécifique pour maladie offrent une opportunité non-précédente pour récapituler tous les deux la formation de tissue humain normale et pathologique in vitro, alors facilitant la recherché de maladie et le développement de médicaments.

Ce qui signifié littéralement, ‘Nous avons isolé les petits ploucs, nous avons finalement la disposition d’un approvisionnement non-limité, et maintenant nous pouvons vraiment étudier les gènes, un à la fois.”

 

Ce qui est exactement ce qu’ils vont faire. Les génétiques de ces maladies doivent être débouchées, assez littéralement, et ça pourrait prendre des centaines d’années ou des millénial de temps dans le laboratoire, sans un bon approvisionnement de matériaux.

Vous pouvez vous attendre à entre beaucoup plus sur la recherche dérivée de ce travail. Vous pouvez aussi vous attendre à voir l’idée cultivant et la technique utilisée largement, parce que cette approche de développement prendre beaucoup de peine du problème d’accès aux matériaux.

La manque de matériaux a été pendant des dizaines des années si non des centaines d’années un facteur limitant sur le nombre de recherche actuel qui est possible à faire. Aujourd’hui on fait assez de recherche que la demande est gigantesque. Cette limite est maintenant histoire.

L’équipe de Daley a maintenant résolu ce problème. Utiliser des cellules humaines réelles rend le travail beaucoup plus efficient. Ca rendra quelques souris très contentes, au moins, et une base de cout convenable pour les scientifiques.

Ceci est une prestation logistique très large pour la recherche médicale, d’abord. J’espère que cette addition non-estimable à la recherche médicale sera reconnue pour être assez utilise que c’est vraiment.

 

Traduire: Joke Mulleners

Source: ALS Independence 

Share