Scientifiques cellules souches démontrent la sécurité de thérapie gènes en utilisant des cellules souches adultes

04-07-2008

Une nouvelle étude par des scientifiques d’UC Davis fournissent de l’évidence que des méthodes qui utilisent des cellules souches dérivées de la moelle humaine, pour délivrer la thérapie gène pour guérir des maladies du sang, de la moelle et certaines types de cancre ne causent pas le développement de tumeurs ou la leucémie.

"Les résultats de notre étude de décennies de transplantation de cellules souches humaines adultes démontrent qu’il y a peu de risque d’événements adverses causés par le transfert de gènes, et que les cellules souches humaines adultes ne posent pas un risque de cancre quand implantées dans des différents organes,” a dit Jan Nolta, auteur-senior de l’étude et directeur du programme UC David Cellules Souches.

Nolta et ses collègues ont testé la sécurité de transfert de gènes dans les cellules souches de moelle des donateurs humains dans plus de 600 souris. Aucune des souris transplantées développait la leucémie ou des tumeurs solides causés par le traitement de thérapie génétique, pendant la période d’évaluation de plus de 18 mois.

"Ces information sont critiques pour la recherche avancée de cellules souches menant vers des thérapies,” a dit Nolta. “Nous avons démontré que des cellules souches adultes suivent des routes naturelles pour atteindre des locations de but, elles fonctionnent normalement quand elles y arrivent et ne démontrent pas la croissance de cellule non-contrôlée qui est le caractéristique du cancre.”

Des testes de thérapie génétique qui utilisent des cellules de moelle ont commencé dans les tôt 1990s, en ont depuis ce moment inclus environ 1000 patients autours du monde. En 2000, une condition comme la leucémie a émergé dans 3 patients dans une teste clinique en France, arrêtant les testes et questionnant la sécurité de la méthode. Les scientifiques ont suspecté que le gène transféré dans ce teste avait donné aux cellules transplantées une capacité de croissance augmentée qui a menée au cancre.

"Après ces études en France, la communauté de thérapie génétique a senti qu’il faut plus de testes de biosécurité,” expliquait Gerhard Bauer, auteur principale de l’étude et un assistant-professeur de hématologie et oncologie.” Grâce au nombre sensiblement large des animaux d’étude, notre étude illumine en plus la sécurité de thérapie génétique en utilisant des cellules souches hématopoïétique. Cela nous permet aussi de nous reposer avec la connaissance que si nous insérer des gènes correctifs dans des cellules souches de la moelle humaine et administrer ces cellules aux patients humains, nous fournissons une thérapie de sécurité relative."

Aujourd‘hui, la thérapie génétique qui utilise les cellules formant de sang adultes trouvées dans la moelle (aussi connues comme des cellules souches hématopoïétiques) est normalement fait dans un environnement de transplant autologue. Le thérapie inclus la prise de cellules souches hématopoïétiques d’une personne qui a besoin d’un traitement, génétiquement modifiant les cellules -- peut-être en ajoutant un gène manquant -- et alors réinsérant les cellules dans la même personne. Ce traitement élimine les complications de maladie graft-versus-host ou rejection de host qui peut se présenter dans des transplants allergéniques (thérapie où le donateur cellule est différent du récipient).

Dans l‘étude courante, 630 souris immun déficient ont reçu les cellules souches mésenchymateuse d’un donateur de moelle humaine et des cellules souches hématopoïétiques d’un autre. Des cellules souches mésenchymateuse sont un type d’ cellules trouvé dans la moelle qui soutienne la fonction de cellules souches hématopoïétiques, et peut donner une augmentation au moelle, cartilage, lipides et muscles. Les gènes étaient insérés dans les cellules souches hématopoïétiques en utilisant une des deux vecteurs virales -- ou bien un rétrovirus ou bien un lentivirus -- avant qu’ils étaient transplantés dans les souris, avec les cellules souches mésenchymateuse génétiquement modifiées.

Des souris utilisées dans l’étude longue terme, quatre ont développé la leucémie humaine. Aucune de ces souris, néanmoins, étaient trouvées d’avoir DNA vecteur présent dans des cellules malignes.

"Ceci est une évidence de tendance naturelle pour les cellules souches de moelle humaine de développer la leucémie dans des études longue terme, non pas que la leucémie était causée par la modification génétique“, a expliqué Bauer. “C’est un bon contrôle statistique pour notre méthode.”

Bauer a noté que bien que les résultats de l’étude présente sont important pour l’emploi avec cellules souches adultes, ils ne sont pas applicables pour des cellules souches embryonnaires humaines, qui ont des caractéristiques complètement différents.

"Nos expériences ne contenaient pas des cellules souches embryonnaires humaines, alors nous avons beaucoup de travail essentiel pour rassurer que ces types de cellules souches peuvent être utilisé secouement pour des testes cliniques humaines,” a dit Bauer. “C’est certainement possible, et nous travaillons fort pour établir des traitements basés sur cellules souches embryonnaires humaines effectifs, aussi pour des patients."

Nolta et Bauer ont travaillé sur 18 testes de thérapie génétique et thérapie clinique pendant leurs 12 ans comme collègues, y inclus les testes de la thérapie des gènes cellules souches pour adénosine déaminase défiance, aussi connu comme la maladie de “Bubble Boy”, et la thérapie de gènes cellules souches pour HIV, avec des collègues du Children's Hospital Los Angeles, qui sont aussi Co-auteurs du rapport.

Bauer est le directeur du UC Davis' Good Manufacturing Practice (GMP) laboratoire en Sacramento. Sur son complétion, UC Davis sera un des peu universités dans une facilité large GMP où les scientifiques travailleront dans un environnement ultra-propre pour dériver des produits cellulaires qui, après certification et testés extensives, seront utilisé pour traiter des patients. Le Californie Institute for Regenerative Medicine (CIRM) a recommandé du financement pour cette nouvelle facilité pour aider à apporter une série large de thérapies de traitement cellules souches pour des patients autour de Californie.

Selon Nolta, les résultats de l’étude courante permettront UC Davis d’avancer avec une certitude augmentée en préparant pour des testes cliniques.

"Nous sommes prêts pour développer et tester cette approche secoure pour créer des thérapies effectifs, et nous utilisons aussi le même modèle pour tester la sécurité de thérapies basés sur cellules souches embryonnaires pour remplir la promesse de la médecine régénérative.” elle a dit.

L’étude était publiée online dans l’exemplaire du 6 mai 2008 de Molecular Therapy.

Ce travail était supporté par les National Institutes of Health through the National Heart, Lung and Blood Institute/National Institutes of Diabetes and Digestive and Kidney Diseases; The John Connell Gene Therapy Foundation; un Career Development Award du Children's Hospital of Los Angeles Research Institute, et UC Davis Stem Cell Program start-up financement.

Adapté des matériaux fournis par l’ University of California - Davis - Health System.

Traduire: Joke Mulleners

Source: ALS Independence

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