Cellules de support modifient SLA

17-06-2008

Des cellules gliales, les cellules supportantes du système nerveux, sont présentes partout dans votre cerveau et votre moelle épinière, et vous aident avec la communication entre les neurones.

Malgré leur rôle supportif dans le système nerveux sain, ces cellules gliales peuvent subir des changements fonctionnels après un dommage de cerveau ou pendant une maladie qui le rend difficile pour le système nerveux de guérir.

Un groupe de scientifiques Hopkins sous la direction de Nicholas Maragakis, un neurologue au School of Medicine, a examiné le rôle de cellules gliales dans la maladie neurodégénérative sclérose latérale amyotrophique, aussi connue comme la SLA ou la maladie de Lou Gehrig.

La SLA contient la dégénération progressive des neurones moteurs, qui transmissent les signaux du cerveau qui disent aux muscles ce qu'ils doivent faire, et mène à la faiblesse, la paralyse et la morte.

Les scientifiques ont examiné comment la croissance ou la prolifération d'astrocytes, un type de cellules gliales autours du système nerveux central, pourrait jouer un rôle dans la cause de la SLA.

Après une blessure, les astrocytes subissent un processus qui s'appelle astrogliose réactive, dans leqeuel ils perdent leurs fonctionnements normaux et démontrent d'expression de gènes modifiés.

Dans un système nerveux sain, les astrocytes jouent un rôle supportif ce qui consiste de la regulation de neurotransmitteurs et la prise d'ions aussi bien que la prévention de toxines d'atteindre le cerveau par le sang.

Néanmoins, si les astrocytes deviennent réactives, ils peuvent mener à la morte de leurs neurones voisins à cause de la perte de fonctions vitales.

Travaillant de preuve ancienne que l'astrogliose réactive était important dans des maladies neurodégénératives, ce group de scientifiques a examiné une connection entre la prolifération de ces astrocytes réactives et la SLA.

Ils ont utilisé deux modèles souris qui ont été génétiquement modifiéss pour exprimer soit une forme acute soit une forme chronique de la maladie neurones moteurs. Des marqueuers étaient utilisés pour marquer les astrocytes dividants dans des sections tissues pour chaque modèle souris. Des astrocytes et des neurones moteurs dans la région plus bas de la moelle épinière étaient le région de focus le plus important.

Le modèle acute représente les changements cellulaires immédiats suivants une blessure de cerveau ou de moelle épinière traumatique. Dans ce modèle, ils ont trouvé que la prolifération astrocyte était réduite dans le modèle de maladie comme comparé avec une souris wild-type.

Néanmoins, si ces astrocytes proliférants étaient endommagés ou supprimés, il n'y avait pas une baisse signifiante dans le nombre de cellules gliales réactives.

Ils ont conclu que les astrocytes proliférants n'étaient pas un component large des astrocytes réactifs contribuant à la maladie neurones moteurs acute.

Le modèle souris chronique, qui implique un commencement plus lent et la progression des symptomes de maladie, est plus représentatif de la SLA. Dans ce cas, le nombre d'astrocytes proliférants était aussi réduit mais n'était pas le contributeur principal à l'astrogliose réactif.

En plus, si les astrocytes proliférants étaient endommagés, les symptômes de maladie étaient retenus, indiquant que la morte cellulaire des neurones moteurs se présentait encore.

Dans chaque de ces modèles, il y avait une augmentation dans le nombre d'astrocytes présents, bien qu'ils ne se dividaient pas activement à ce moment.

Pour une maladie chronique comme la SLA, si des grands nombres d'astrocytes prolifèrent dans une longue période, on pourrait encore avoir un effet signifiant sur l'astrogliose.

Bien que les scientifiques ne trouvaient pas des symptômes améliorés, si les astrocytes proliférants étaient endommagés, ils étaient capables de mieux définir le rôle de ces astrocytes en terme de blessure de système nerveux et de dégénération.

Ils ont déterminé que les astrocytes proliférants sont un contributeur relativement petit aux symptômes de la maladie, mais qu'ils sont en effet présents dans l'astrogliose réactif.

Traduire: Joke Mulleners

Source: ALS Independence

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