Nouvelle route à des cellules reprogrammées peut mener à une étude de SLA

30-08-2005

Roberta Friedman, PhD, ALSA, Département recherche, coordinateur d’information.

Synopsis: la fusion des cellules souche embryonnaires et cellules de la peau des adultes, annoncée par les chercheurs de Harvard, suggère un nouveau moyen pour trouver une thérapeutique SLA.

Publié dans l’édition du 26 août du magazine Science. Des chercheurs à Harvard rapportent une nouvelle possibilité pour générer des cellules qui se comportent comme cellules souches, et qui ont la même capacité pour produire tous les types cellulaires dans le corps. Les hybrides qui ont de l’avenir en ce qui concerne le fait de trouver des nouvelles thérapies, mais les cellules sur soi ne peuvent pas être utilisées comme thérapeutique, vu qu’elles contiennent le double de chromosomes humaines et qu’elles seraient rejetées par le corps.

Le produit composé d’une cellule souches d’un embryon humain et une cellule de la peau d’un adulte contient des gènes des deux types cellulaires, mais, curieusement, seulement les caractéristiques de l’embryon s’expriment.

"Cette nouvelle technologie nous fournit des moyens pour développer des lignes cellulaires qui permettront la découverte d’un médicament pour SLA", d’après Lucie Bruijn, Ph.D., directeur scientifique et vice-président de l’association SLA, vue qu'on peut faire des cellules qui reflèteraient la biologie d’un patient SLA. "C’est un moyen intéressant pour tester des nouveaux médicaments et d’apprendre plus du mécanisme de la maladie », disait Bruijn.

La publication rapporte du processus pour prendre des cellules souches d’un set existant des cellules souches embryonnaires qui se développent dans le laboratoire, et de les fusionner avec des cellules du prépuce humaine, afin de produire une cellule hybride. Le manœuvre transmet l’état embryonnaire à une cellule adulte.

Malgré le nombre double de gènes, les hybrides survient et croissent, et ils peuvent générer toutes les sortes de types cellulaire, cellules musculaires et nerveuses incluses. La technique fusion fonctionne aussi avec des cellules de l’os, et également pour la ligne cellule souche indépendante pour l’homme ainsi que pour la souris.

Lundi, lors d'une conférence de presse, Kevin Eggan, Ph.D. de l’équipe de collaboration de Harvard a remarqué que ‘nous pouvons faire beaucoup de ces cellules d’une autre manière qu’avec le transfert nucléaire des cellules somatiques et les manipuler plus facilement dans le labo."

Il a référé au travail avec des scientifiques coréens qui ont reprogrammé des cellules adultes, en prenant des ovules humaines sans noyau, et d’introduire le noyau d’une cellule adulte. Ce processus s’appelle le transfert nucléaire des cellules somatiques. D’une manière ou l’autre le cytoplasme de l’ovule peut produire l’état embryonnaire, malgré la présence des gènes adultes.

Les chercheurs de Harvard écrivent dans leur rapport que comprendre le reprogrammation peut permettre de réformer des cellules adultes à des cellules souches, ‘et de cette façon également la production des lignes cellulaires génétiquement produites pour étudier et traiter des maladies humaines’.

Les scientifiques SLA réfléchissent à étudier la maladie en mettant le noyau d’une cellule d’un patient SLA dans une cellule qui peut vivre dans le laboratoire, avec comme objectif de générer des lignes cellulaires qui sont plus représentatives pour SLA.

Source: www.alsa.org

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