University of Tasmania & Team de Scientifiques belges obtiennent un million de dollars pour conduire un Essai Clinique pour Maladie du Motoneurone (MMN)

19-09-2019

Universiteit Tasmanië en Belgische wetenschappersLa University of Tasmania collabore avec un groupe de scientifiques belges pour conduire un essai clinique concernant un nouveau traitement pour la Maladie dévastatrice du Motoneurone (MMN). Une subvention d’un million de dollars de FightMND (organisation sans but lucratif) les aidera à développer le médicament et à tester s’il mérite d’autres essais cliniques comme traitement de la Maladie du Motoneurone.

Qu’est-ce la maladie du Motoneurone ?

La Maladie du Motoneurone (MMN) est une condition qui se présente lorsque les neurones — qui contrôlent les muscles qui permettent la parole, le mouvement, la respiration et la déglutition — ne fonctionnent plus de façon normale, incitant les muscles à s’affaiblir et à dépérir. Selon le ICD-11, les maladies suivantes se situent parmi la MMN, incluant : la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ; la paralysie bulbaire progressive (PBP) ; la paralysie pseudobulbaire, l’atrophie musculaire progressive (AMP), la sclérose latérale primitive (SLP), et l’amyotrophie monomélique (AM), ainsi que quelques variantes plus rares ressemblant à la SLA.
MND Australia rapporte que l’espérance moyenne de vie d’une personne avec MND (= MMN), du moment du diagnostic jusqu’à la mort, est d’environ 2.5 ans.

Qui est FightMND ?
Basée en Australie, FightMND a été établie en 2014 pour trouver des traitements efficaces et finalement guérir la MMN. Elle sert de porte-parole et comme étoile-guide pour des Australiens cherchant à ‘’combattre la Bête’’. La maladie horrible et invalidante prive graduellement le patient de la capacité de pouvoir faire des choses basiques comme manger.

Le Focus australien sur MMN
Le Professeur King avec le Wicking Centre, et l’investigateur en chef a été cité concernant la recherche de University of Tasmania comme ‘’ un focus clé de notre recherche MMN est fixé sur des stratégies neuroprotectrices, particulièrement celles qui ciblent les cellules nerveuses ou axones, qui sont responsables pour la transmission des signaux. ‘’ Leur recherche en Australie se concentre sur certains points A) comprendre pourquoi les processus de la cellule nerveuse dégénèrent et B) pourquoi ils dégénèrent.

Chercheur/Investigateur en chef
Professeur Anna King, University of Tasmania

 

Traduction : Gerda Eynatten-Bové

Source : TrialSite News

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