HVH présente grande analyse des données relatives au diagnostic précoce

06-06-2017

HVH a présenté la grande analyse des données relatives au diagnostic précoce de la SLA au cours de l’ISPOR 2017

HVH Precision Analytics présenta les conclusions par rapport à la grande analyse des données en vue d’un diagnostic plus précoce de la SLA (sclérose latérale amyotrophique) afin d’aider les cliniciens à s’occuper plus rapidement des patients et de pouvoir leur donner la possibilité d’une inscription aux tests cliniques.

La présentation de l’affiche de HVH se nomme 'la grande analyse des données en vue d'un diagnostic précoce de la sclérose latérale amyotrophique (SLA)' et celle-ci a eu lieu pendant l’ISPOR 2017 – la 22ème rencontre annuelle internationale d’économie pharmaceutique et de recherche de résultats (International Society for Pharmacoeconomics and Outcomes Research) – qui s’est tenue entre le 20 et le 24 mai à Boston.

En moyenne, il s’écoule environ un an entre le début des symptômes et le diagnostic de la SLA. Cela entraine un retard négatif lors de la mise en route du traitement et empêche les patients d’avoir accès à une inscription en vue de tests cliniques. Par rapport à son analyse des données, HVH a fait appel à une méthodologie comprenant 3 étapes c’est-à-dire rassembler les trajets à travers une grande base de données américaines concernant les plaintes des patients, les agréger et les évaluer: la base de données Truven Martketscan, qui concerne plus de 170 millions de personnes.

Un total de 12.332 personnes identifiées atteintes de SLA (2010-2014) relatives au jeu de données, comprenant une moyenne de 4,4 années d’historique de plaintes. En moyenne, les patients avaient 60 ans, dont 58 % d’hommes. Environ 25% réclamaient du Rilutel (riluzole).

Des patients de Californie, de Floride, du Massachusetts et de New-York furent analysés pour la première fois sur des caractéristiques y compris les codes du diagnostic ainsi que de procédure, médication, types standards de fourniture ainsi que les espèces de facilités en matière de soins. Ces caractéristiques furent triées à partir de leur fréquence et grâce à l’aide d’une méthode d’information en commun.

Le but était de découvrir des facteurs annonciateurs de la SLA auprès de patients qui furent par après diagnostiqués de la maladie. Les maladies touchant les tissus liants mais également la peau, celles des canaux respiratoires bas et les manques gastro-intestinaux semblaient être les caractéristiques les plus fréquentes par rapport à l’analyse.

Ces découvertes ont révélé que certains signaux dans l’historique des plaintes des patients se différenciaient jusqu’à 5 ans avant le diagnostic initial de SLA comparé aux autres patients.

Aux dires de Tara Grabowsky, MD, responsable médical du HVH et auteur des conclusions publiées, dans un communiqué de presse. “Un progrès considérable fut accompli en matière d’analyse des données et de modélisation des prévisions, afin de mieux comprendre les patients non-diagnostiqués pour le moment ”.

“Ceci constitue un exemple comment les capacités intensives d’analyse de la plate-forme HVH peuvent identifier potentiellement les signaux précoces de la SLA et qui pourraient en fin de compte être utilisés afin de développer des instruments par rapport à un diagnostic avant la lettre. Etant donné la nature rapide et invalidante de cette maladie horripilante, cela fait un pas en avant remarquable”.

 

Traduction : Eric Kisbulck

Source : ALS News Today

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